PacifiquesRelations

من أجل عـصر جديد للشعوب العربية . عصر العزة و الكرامة بعد عقود من الخنوع و الاستكانة لعدو خارجي و و قريب يستهين بكرامة الانسان العربي

Dimanche 12 décembre 2010 à 18:30




L'une des vérités fondamentales établies par les textes sacrés est que nul ne peut être forcé d’embrasser l’islam.  Il est du devoir des musulmans d’expliquer aux non-musulmans pourquoi l’islam est la vérité, afin que la bonne voie soit distincte de l’erreur.  Ensuite, quiconque souhaite embrasser l’islam est libre de le faire, et quiconque souhaite continuer sur la voie de l’incroyance est aussi libre de le faire.  Nul ne devrait jamais être menacé ni lésé de quelque façon que ce soit s’il refuse de devenir musulman.

Parmi les textes très clairs à cet égard, nous retrouvons les suivants.  Dieu dit, dans le Coran :

« Nulle contrainte en religion.  La bonne voie est désormais distincte de l’erreur.  Celui qui rejette les fausses divinités et croit en Dieu a saisi l’anse la plus solide, qui ne se brisera jamais.  Dieu entend tout,  et Il est Omniscient. » (Coran 2:256)

Dieu dit également :

« Si ton Seigneur l’avait voulu, tous ceux qui sont sur la terre auraient cru.  Contraindrais-tu les gens à devenir croyants, (ô Mohammed)? » (Coran 10:99)

Dieu dit encore :

« Et s’ils argumentent avec toi, (ô Mohammed), dis : « Je me suis entièrement soumis à Dieu, (de même que) ceux qui me suivent. »  Et dis à ceux qui ont reçu le Livre, ainsi qu’aux illettrés : « Vous êtes-vous (également) soumis? »  S’ils se soumettent (en devenant musulmans), alors ils sont réellement bien guidés.  Mais s’ils se détournent, alors il ne t’incombe que de (leur) transmettre le message.  Et Dieu voit parfaitement ce que font Ses serviteurs. » (Coran 3:20)http://pacifiquesrelations.cowblog.fr/images/photosQuran/HolyQuran1gif.jpg

Et Il dit encore :

« Il n’incombe au messager que de transmettre (le message). » (Coran 5:99)

Il est important de souligner que ces deux derniers versets furent révélés à Médine.  Cela revêt une importance particulière dans la mesure où cela démontre qu’ils ne s’adressaient pas aux musulmans alors qu’ils étaient encore à la Mecque et donc, en position de faiblesse et d’infériorité.

Certains se demandent peut-être : si l’islam encourage vraiment une telle approche, qu’en est-il de tout ce qu’on entend à propos du jihad?  Comment expliquer la guerre que menèrent le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) et ses compagnons contre les païens?  La réponse est que si le jihad, en islam, peut être mené pour un certain nombre de raisons, forcer les gens à devenir musulmans n’est pas l’une d’elles.  Prêcher l’islam ne peut se faire que de façon pacifique, en expliquant le message, tant par écrit qu’oralement.  Forcer les gens à devenir musulmans en leur mettant une épée sous la gorge, cela n’a tout simplement pas sa place, en islam.

Dans sa lettre au gouverneur romain Héraclius, le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) écrivit :

« Je vous invite à embrasser l’islam.  Si vous le faites, vous serez en sécurité et Dieu vous récompensera doublement.  Mais si vous vous détournez, vous porterez le fardeau des péchés de vos sujets qui vous auront suivi. » (Sahih al-Boukhari, Sahih Mouslim)

Une fois que les gens ont entendu le message sans obstacle et sans altération et qu’ils en ont compris l’essence, alors le musulman a accompli son devoir.  Ceux qui souhaitent croire sont libres de le faire et ceux qui préfèrent ne pas croire sont libres de le faire également.

Même lorsque les musulmans sont forcés de combattre et qu’ils conquièrent un pays, leur devoir est alors d’établir la loi de Dieu dans ce pays, de même que la justice pour tous, musulmans et non-musulmans.  Forcer les sujets à accepter l’islam contre leur gré ne fait pas partie des droits qui leur sont reconnus par l’islam.  Les non-musulmans vivant sous un gouvernement musulman ont le droit de garder leur religion et de la pratiquer comme bon leur semble.  Cependant, ils se doivent de respecter les lois du pays.http://pacifiquesrelations.cowblog.fr/images/IslamSlogan/cami.jpg

Si l’objectif du jihad avait été de forcer les Infidels (كافر kāfir ) à embrasser l’islam, le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) n’aurait jamais ordonné aux musulmans de cesser les hostilités si l’ennemi fléchissait.  Il n’aurait pas, non plus, strictement interdit de tuer femmes et enfants.  Et c’est pourtant exactement ce qu’il fit.

Une fois, au cours d’une bataille, le Prophète vit des gens attroupés.  Il envoya un homme voir ce qui se passait.  L’homme revint et dit : « Ils sont attroupés autour d’une femme qui vient d’être tuée. »  Alors le Prophète dit :

« Jamais elle n’aurait dû être attaquée! »  Comme c’était Khalid ibn al-Walid qui dirigeait l’armée sur le terrain, il lui envoya un homme (en disant à cet homme) : « Dis à Khalid de ne pas tuer de femmes ni d’ouvriers. »  (Sounan Abou Daoud)

http://pacifiquesrelations.cowblog.fr/images/IslamSlogan/13.jpgAinsi, même au cœur du combat contre les forces ennemies, les seuls pouvant être attaqués sont ceux participant au combat.

Si l’objectif du jihad était de forcer les mécréants à embrasser l’islam, les califes bien-guidés n’auraient pas interdit de tuer les prêtres et les moines qui refusaient de participer aux combats.  Et c’est pourtant ce qu’ils firent.  Lorsque le premier calife, Abou Bakr, envoya une armée en Syrie pour combattre les brutales légions romaines, il prit la peine d’aller les encourager avant leur départ.  Il dit : « Vous y trouverez certainement un groupe de personnes qui ont dédié leur vie à l’adoration de Dieu [i.e. des moines]; laissez-les à leurs occupations. »

Samedi 11 décembre 2010 à 21:14


Ceux qui maintiennent que la vérité est relative et que toutes les croyances sont acceptables estiment qu’il est impossible de dire que telle ou telle croyance est fausse, car pour eux, la religion demeure une croyance purement individuelle.  La fausseté de cet argument est tellement évidente qu’il n’est nul besoin de se perdre en détails pour la prouver.  Si une religion présente Jésus comme un faux prophète, qu’une autre maintient qu’il est Dieu en personne et qu’une troisième affirme qu’il était un humain spécialement choisi par Dieu pour en faire un prophète, comment peuvent-elles toutes être vraies?  Forcément, une seule de ces trois descriptions s’applique à Jésus (que la paix soit sur lui).  Et comme une seule de ces affirmations peut être considérée comme vraie, si nous pouvons l’établir clairement alors les deux autres doivent, en toute logique, être considérées comme fausses.

Cela ne signifie pas, cependant, qu’une personne n’a pas le droit de croire en ce qu’elle veut, car Dieu a accordé à tous les humains ce droit fondamental.  Mais en même temps, cela ne veut pas dire, à l’autre extrême, que toute croyance est acceptable et qu’on ne doit pas former de jugement sur les croyances.  Aussi, le fait de laisser une personne libre de croire ce qu’elle veut ne signifie pas nécessairement qu’on lui donne le droit de pratiquer ouvertement ses croyances ou d’en faire l’apologie, car les lois en vigueur dans chaque société prennent en considération l’effet des actions individuelles au niveau, beaucoup plus large, de la société en général et des règles strictes sont édictées pour favoriser le bien commun et ne pas nuire à la société dans son ensemble.

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Tout ce dont nous avons discuté jusqu’ici nous permet de conclure, sans équivoque, que soit toutes les religions pratiquées aujourd’hui dans le monde sont fausses, soit il existe parmi elles une seule religion qui constitue la Vérité; car même si plusieurs religions contiennent des similitudes, elles possèdent aussi des différences fondamentales irréconciliables.
Si nous disions qu’aucune des religions présentes aujourd’hui dans le monde n’est vraie, cela reviendrait à dire que Dieu est injuste car Il nous aurait laissés errer, sur terre, dans le péché et la transgression sans nous indiquer la bonne manière de faire les choses.  Voilà qui est impossible de la part d’un Dieu sage et juste.  Par conséquent, la seule conclusion logique est qu’il existe réellement aujourd’hui une seule et unique religion véridique, qui est là pour nous guider dans toutes les sphères de la vie, ce qui englobe le domaine religieux, les considérations morales, le développement harmonieux de la société et l’épanouissement personnel des individus.http://pacifiquesrelations.cowblog.fr/images/IslamSlogan/-copie-5.jpg
Comment savoir quelle est cette unique religion véridique?  Il est du devoir de chaque être humain de faire cette recherche.  Les humains ont été crées pour réaliser un objectif supérieur, pas seulement pour manger, dormir, se procurer leurs moyens de subsistance et assouvir leurs désirs.  Pour réaliser cette destinée, encore faut-il savoir quelle est le véritable objectif de notre existence, ce que seule une quête sincère peut nous révéler.  Si l’on croit que Dieu existe et qu’Il n’a certainement pas permis aux humains d’errer éperdument dans l’égarement, alors il faut partir en quête de la religion et du mode de vie que Dieu a révélés aux hommes.  Cette religion ne doit pas être cachée ni difficile à trouver ou à comprendre, car ce serait contraire au but recherché.   De plus, comme nous avons mentionné que toute chose tend vers une seule vérité absolue, son message doit être le même jusqu’à la fin des temps.  Enfin, elle ne doit contenir aucune fausseté ni contradiction, car la fausseté et la contradiction ne serait-ce que dans une sphère de la religion suscite le doute quant à l’intégrité de ses textes et démontre la fausseté de la religion tout entière.http://pacifiquesrelations.cowblog.fr/images/Christianism/alhakk.jpg
À part l’islam, aucune autre religion ne remplit les conditions susmentionnées.  L’islam est la religion qui est en parfait accord avec la nature humaine et celle prêchée par tous les prophètes depuis l’aube de l’humanité. D’autres religions présentes aujourd’hui, comme le christianisme et le judaïsme, sont des vestiges de la religion révélée et pratiquée, à leur époque, par tous les prophètes, c’est-à-dire l’islam.  Avec le temps, toutefois, les enseignements d’origine ont été soit altérés soit perdus, et ce qui reste aujourd’hui de ces religions est un mélange de vérités et de mensonges.  La seule religion qui a été préservée et qui prêche toujours le même message apporté par tous les prophètes est l’islam, la seule religion véridique, qui gère toutes les sphères de la vie humaine, englobant le domaine religieux, les considérations morales, le développement harmonieux de la société et l’épanouissement personnel des individus, et il est du devoir de chaque être humain d’étudier cette religion afin de s’assurer de son caractère véridique, puis de la pratiquer et d’en faire un mode de vie

Vendredi 10 décembre 2010 à 14:17


Souvent, lorsqu’on discute de religion, on entend des affirmations comme: « Personne n’a le droit de juger les croyances des autres » ou « la religion est une affaire privée » ou encore « on ne peut dire que telle ou telle croyance est bonne ou mauvaise ».  Au cours de l’histoire, les sociétés humaines ont fondé leurs lois et leur éthique sur des « vérités absolues » qu’elles ont jugées « bonnes », et cela est dû soit à l’existence d’un texte extérieur qu’elles ont  considéré comme suprême, soit à un trait inné de la nature humaine qui permet de déterminer que certaines choses sont bonnes et d’autres mauvaises.  En effet, tous les humains disposent, à la base, d’une certaine dose de jugement qui leur permet de discerner le bien du mal.  Par exemple, tous les humains laissés à eux-mêmes et dont l’esprit n’a pas été perverti verront naturellement l’urine et les matières fécales comme sales et répugnantes.  De même, certaines actions comme voler, tuer ou mentir sont universellement reconnues comme mauvaises, alors que la vérité, la sincérité et l’honneur sont tenus en estime.  Cela résulte d’un trait inné chez les humains, mais comme nous l’avons mentionné plus haut, il demeure limité.

 

Lorsque des gens disent qu’on n’a pas le droit de juger les croyances ou les actions des autres, ils se contredisent en fait eux-mêmes.  La plupart d’entre eux, par exemple, ne trouveraient pas acceptable de tuer des bébés ou de se suicider.  Mais lorsque l’on étudie certaines sociétés pratiquant certaines religions, comme en Amérique centrale, on découvre que l’infanticide y était perçu comme un moyen de se rapprocher des dieux.  Aujourd’hui encore, chez les hindous, on voit d’un bon œil qu’une femme se suicide après le décès de son mari.  Si on considère que la religion est du ressort de chaque individu et que personne n’a le droit de s’interposer ou de juger, alors il faudrait permettre aux gens qui pensent qu’il est acceptable et bien vu de le faire de tuer des bébés, et il faudrait s’abstenir de juger cet acte comme mauvais.

Islam - by Country:

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Si on ramenait cela à un niveau individuel, on verrait que toute personne possède sa propre perception du bien et du mal et que cette perception est fondée soit sur la religion, soit sur les lois et la législation en vigueur, soit sur la culture ou sur les choix individuels.  Quelqu’un peut penser qu’il est parfaitement acceptable de commettre l’adultère alors que quelqu’un d’autre peut penser que c’est mal. Certains peuvent penser qu’il est permis de s’adonner à la drogue et aux narcotiques car ils ne mettent en jeu que leur propre corps, alors que d’autres pensent que c’est un délit criminel puni par la loi.  Dans un tel contexte, personne ne pourrait différencier avec certitude le bien du mal, et chacun en serait réduit à croire et à pratiquer par lui-même ce qu’il perçoit comme étant « correct ».

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Une société  basée sur cela serait vouée à l’anarchie. Aucune loi ne pourrait être promulguée ni appliquée, car toute loi est basée sur le fait que certaines choses sont bonnes et d’autres non.  On peut postuler que certaines vérités font l’unanimité chez tous les humains et qu’on peut les regrouper pour en faire des éléments universels de législation.  Cela est vrai jusqu’à un certain point, car tel que mentionné plus haut, tous les humains possèdent par nature un critère de référence inné leur permettant de différencier entre le bien et le mal.  Mais souvent, cette capacité de discernement se corrompt sous l’influence de l’environnement et de facteurs psychologiques et religieux, ce qui fait que certains actes qui étaient perçus comme mauvais ou immoraux sont plus tard considérés comme sains et acceptables; et certaines choses qui vont à l’encontre de la nature humaine sont perçues comme les clés du salut.  Cela est clairement observable dans les sociétés démocratiques qui fondent leurs lois sur le système de la majorité.  Plusieurs choses qui, par le passé, étaient considérées comme totalement absurdes ou immorales sont maintenant socialement acceptées, à tel point, d’ailleurs, que si quelqu’un soutient une opinion divergente sur un sujet, il est considéré comme un paria.

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C’est pourquoi les humains ne peuvent légiférer d’eux-mêmes sur ce qui est bon et convenable et sur ce qui ne l’est pas.  Même au sein de sociétés issues d’une même religion, qui ont déjà instauré le principe de séparation de la religion de l’État et qui s’entendent sur les éléments qu’ils ont sauvegardé de leur religion, les divergences sont énormes lorsqu’il s’agit de déterminer ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas.  Ce qui est considéré comme l’âge du consentement légal pour une relation sexuelle en France devient un viol de mineure aux États-Unis.  L’avortement est légal dans un pays, mais considéré comme un crime dans un autre.  Et alors que l’homosexualité est vue comme un mode de vie légitime dans une société, elle est considérée comme un péché majeur dans une autre.

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Donc si nous disons que la vérité est unique et absolue et qu’elle n’est pas relative à chaque individu ou société, la question suivante est : quels sont les principes moraux à partir desquels la vérité peut se manifester et qui devrait les déterminer?  Quelles sont les lois qui devraient régir la société?  Doivent-elles être établies par des juges et des avocats ayant atteint un certain niveau d’«illumination légale», par des politiciens dont les décisions sont souvent dictées par leurs propres intérêts et ceux de leur pays, ou encore par des philosophes qui auraient découvert les vérités universelles par la contemplation?   Tel que mentionné plus haut, les humains sont incapables de décider de ces choses par eux-mêmes sans aboutir à des résultats catastrophiques, comme nous pouvons le constater aujourd’hui dans nombre de sociétés minées par toutes sorte de maux.  Le Seul qui puisse s’arroger le droit de légiférer sur le bien et le mal est Celui qui nous a créés et qui sait ce qu’il y a de mieux pour nous, à savoir Dieu Tout-puissant.  C’est Lui qui a créé ce monde et c’est Lui qui a établi la balance de la justice.  Dieu est Parfait, Il est dépourvu de toute imperfection.
Ici, nous avons surtout traité des questions de croyance qui font intervenir la moralité et l’action, mais plus importantes encore sont les croyances relatives à Dieu, et cela sera traité dans l’article suivant.

http://www.islamreligion.com/fr/articles/8/

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